Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Baptême
Qu'apporte la confirmation?
Comme le baptême, la confirmation imprime dans le chrétien une marque ineffaçable.
Ce sacrement ne peut donc être reçu qu'une seule fois.
En Orient, il est donné aux petits enfants immédiatement après le Baptême. Dans l'Église latine, celle à laquelle nous appartenons, on le donne après l'âge de raison. C'est normalement l'évêque qui célèbre ce sacrement. Il manifeste ainsi le lien avec le don de l'Esprit aux apôtres le jour de la Pentecôte et la place des confirmés dans la communion de l'Église.
On reçoit la confirmation par l'imposition des mains et l'onction avec le saint chrême. Ainsi, les chrétiens participent davantage à la mission de Jésus-Christ et reçoivent la plénitude des dons de l'Esprit Saint."
Source : extrait du petit guide de la Foi Catholique, cardinal André Vingt-trois, Editions Le Sénevé / Cerf
Avec le baptême et l'eucharistie, le sacrement de la confirmation constitue l'ensemble des "sacrements de l'initiation chrétienne", dont l'unité doit être sauvegardée. Il faut donc expliquer aux fidèles que ce sacrement est nécessaire à l'accomplissement de la grâce baptismale. En effet, par le sacrement de confirmation, le liens des baptisés avec l'église est rendu plus parfait, ils sont enrichis d'une force spéciale de l'Esprit Saint et obligés ainsi plus strictement à répandre et à défendre la foi par la parole et par l'action en vrais témoins du Christ.
Dans notre unité pastorale, nous accueillons tous les deux ans les jeunes désireux de recevoir la confirmation, pour un parcours qui dure environ 9 mois.