Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Baptême
Rôle de l’équipe funérailles
Ils nous ont précédés
dans la maison du Père.
L’équipe funérailles assure un service : celui d’écouter, accompagner, d’aider les personnes qui vivent un deuil, et celui d’aider à célébrer la Vie d’une personne défunte.
Cela demande une grande disponibilité (avant, pendant et après), une qualité d’écoute en toute confiance et confidentialité, et une envie de témoigner de la résurrection.
Comme le Christ envoyait ses disciples deux par deux, ce service se vit en équipe. Toutefois, les personnes reconnues auront à cœur d’ouvrir ce service à d’autres membres des communautés, soit ponctuellement, soit pour permettre à l’équipe de s’étoffer et aux compétences de se transmettre.
Concrètement : les équipes rencontrent les familles, préparent avec elles la liturgie des funérailles (choix des lectures, de l’Evangile, prière universelles, mais aussi les chants, les musiques, etc.).
L’équipe encourage aussi les familles à continuer à prier et faire mémoire de leur défunt lors des eucharisties en semaine ou le dimanche.
En conclusion, La pastorale des funérailles est un service, une mission qui appartient à toute l’Eglise. Tous les membres de la communauté, prêtres, diacres et laïcs, sont appelés à témoigner de la compassion de l’Eglise et de son espérance. Les membres des équipes funérailles sont des laïcs appelés, préparés et envoyés par leur communauté chrétienne pour la conduite des funérailles. Aussi, les familles sont-elles invitées à leur faire confiance et à se laisser accompagner par eux.