Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Baptême
Semeurs D'espoir
Vous avez dit SED’ES ?
SED’ES (pour Semeurs d’Espoir) est une initiative de deux prêtres issus du village de Manengolé, Modeste Digwou et Yves Keumeni Ngounou.

Interpellés par le mode de vie des jeunes de leur village qui passent leurs journées dans l’oisiveté, ils ont rapidement conclu que seul un travail en profondeur sur l’éducation et la formation pouvait aider ces jeunes à sortir de leur désœuvrement.
Ainsi est née SED’ES, une plate-forme qui leur permet de rassembler les bonnes volontés et les moyens nécessaires pour atteindre ce but.
L’association possède pour l’instant à Manengolé un terrain d’environ 700m², qui abritera dès que possible les locaux destinés à la formation.
Premières graines d’espoir…
L’effort sera d’abord porté sur trois sections qui demandent chacune de réunir une base de matériel.
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Pour la couture : machines à coudre, fils boutons, etc.

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Pour la coiffure : sèche-cheveux, ciseaux, etc.

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Pour l’informatique : des desktops


Un appel aux dons est lancé pour réunir ce matériel et financer la construction des locaux. Un bâtiment de quatre salles est prévu dans un premier temps.