Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Baptême
Toponyme de Fécher
Connaissez-vous votre village?
Fechier ?
Fechire ?
Fechy ?
Fecher ?
Basse, Haute Fecher ?
Fètchî ?
Fécher ?
Fètchi ?
Dans le livre « Toponymie de Soumagne et de Mélen. », en 2004, pp.76-77, Jean Lechanteur, professeur e.r. Universite de Liège, soumagnard qui habite rue M.Beckers, dans le Beau-Site, cite d'anciennes appellations : Fechier, Fechire, Fechy. Le Cadastre mentionne Fecher, Basse Haute Fecher. Le toponyme dérive de fètchî, fougère. Jean Lechanteur reprend Fécher dans « Enquêtes dialectales sur la toponymie Wallonne. », 1940-1941, de Jean Haust. Dans le même livre, pp.219-221, la carte de Yves Cornet cite Fécher et les légendes en wallon Fètchi sont traduites en français Fécher.
Dans leur livre « Dictionnaire des noms de famille en Wallonie et à Bruxelles. », Editions Racine, 2007, p.422, Jean Germain et Jules Herbillon citent Fecher ou Fécher, hameau de Soumagne, nom dérivé de fètchi(re), fougère.
Dans « Echos de la vie des paroisses dans les doyennés de Chênée, Fléron, Soumagne. », Cercle Historique de Fléron, 1976, pp.65 et suivantes, Pierre Guérin cite la paroisse de Fécher, les curés de Fécher, les vicaires de Fécher,...
Le Plan Popp de Soumagne, vers 1850, cite Fecher, Chapelle de Fecher, Haute et Basse Fecher. Un plan du cartographe Benoît Abrassart, 2005, cite Fécher. La carte maps.google cite Fécher.
De 1905 à 1990, dans 16 faire-part et avis mortuaires de la famille Lovinfosse, implantée à Fécher depuis 1866, le toponyme est Fécher ; par contre, 2 autres citent Fecher (1967 et 2002) et 2 autres encore citent Fêcher (1988 et 1999).
De vieilles cartes postales, y compris avant 1914, citent presque toujours Fécher, et occasionnellement Fecher.
Le Conseil Communal de Soumagne décide en 2006 de remplacer le mur de soutènement du cimetière de Fécher.
Il me paraît logique de BANNIR le toponyme Fêcher, avec accent circonflexe, pourtant repris dans le feuillet interparoissial. L'usage local et les « bons auteurs » imposent Fécher, avec accent aigu, plutôt que Fecher, sans accent.
Gilbert Andernack, août 2012.
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